1 La plage de Sidi Belkhair الإثنين أغسطس 09, 2010 6:25 am
فارس دكالة
عضو مبتدئ
Vous visitez la province des Doukkala et vous êtes en quête d’une magnifique plage sauvage presque déserte? Je vous propose la plage de Sidi Belkhair, à quelques 35 km d’El Jadida sur la route côtière de Oualidia.
Après les deux centres balnéaires connus de Sidi Bouzid et Sidi Abed, la route longe la côte à travers la vaste zone dépressionnaire d'El Oulja où il fait bon contempler la richesse et la diversité des cultures maraîchères entre des dunes de sable à droite et, à gauche, des habitations denses couvrant les piémonts des falaises mortes.
Juste après la bifurcation de Had Ouled Aissa (nommée L3alama) et la station service, on tourne à gauche pour emprunter, sans grande difficulté, une piste carrossable traversant des marais salants et des carrières de sable.
Une gigantesque dune se dresse comme pour mettre, jalousement, cette plage vierge, paradisiaque, à l’abri des regards. Le comble du bonheur c’est lorsque votre visite coïncide avec la marée basse. La baie circulaire bleutée reflète passablement des huttes de pécheurs qui se perchent allégrement sur un bras de rocher.
Ici, se baigner est un délice, pêcher est un vrai plaisir et contempler la mer est une bien douce volupté.
Je garde de ma dernière visite dans ce lieu envoûtant, deux images inoubliables :
* Celle d’un jeune infirme qui courait sur la plage frangée d’écumes. Il gambadait difficilement mais gaiement. Et quand il tomba, il se releva en riant, défiant, ne serait-ce qu’un jour, cette impotence qui le terrasse depuis toujours.
* L’autre image est celle d’un pécheur amateur qui inlassablement, passait tout son après midi à lancer sa ligne, à la retirer pour la relancer de nouveau après avoir garni l’hameçon. Point de poisson dans le panier mais beaucoup de joie et quiétude dans le cœur et l’esprit.
Si vous êtes tentés par la visite de cette plage, ne manquez pas d’atteindre l’extrême droite de la baie pour découvrir une vraie piscine naturelle qui fera votre bonheur et surtout celui de vos enfants.
Profitez de la pureté de cette plage sauvage avant qu’elle ne soit gagnée par l’horrible maladie contagieuse qu’on se plait à appeler « station balnéaire prisée ».
Bonsoir...
Après les deux centres balnéaires connus de Sidi Bouzid et Sidi Abed, la route longe la côte à travers la vaste zone dépressionnaire d'El Oulja où il fait bon contempler la richesse et la diversité des cultures maraîchères entre des dunes de sable à droite et, à gauche, des habitations denses couvrant les piémonts des falaises mortes.
Juste après la bifurcation de Had Ouled Aissa (nommée L3alama) et la station service, on tourne à gauche pour emprunter, sans grande difficulté, une piste carrossable traversant des marais salants et des carrières de sable.
Une gigantesque dune se dresse comme pour mettre, jalousement, cette plage vierge, paradisiaque, à l’abri des regards. Le comble du bonheur c’est lorsque votre visite coïncide avec la marée basse. La baie circulaire bleutée reflète passablement des huttes de pécheurs qui se perchent allégrement sur un bras de rocher.
Ici, se baigner est un délice, pêcher est un vrai plaisir et contempler la mer est une bien douce volupté.
Je garde de ma dernière visite dans ce lieu envoûtant, deux images inoubliables :
* Celle d’un jeune infirme qui courait sur la plage frangée d’écumes. Il gambadait difficilement mais gaiement. Et quand il tomba, il se releva en riant, défiant, ne serait-ce qu’un jour, cette impotence qui le terrasse depuis toujours.
* L’autre image est celle d’un pécheur amateur qui inlassablement, passait tout son après midi à lancer sa ligne, à la retirer pour la relancer de nouveau après avoir garni l’hameçon. Point de poisson dans le panier mais beaucoup de joie et quiétude dans le cœur et l’esprit.
Si vous êtes tentés par la visite de cette plage, ne manquez pas d’atteindre l’extrême droite de la baie pour découvrir une vraie piscine naturelle qui fera votre bonheur et surtout celui de vos enfants.
Profitez de la pureté de cette plage sauvage avant qu’elle ne soit gagnée par l’horrible maladie contagieuse qu’on se plait à appeler « station balnéaire prisée ».
Bonsoir...